Le chat de Schrödinger
Miles Mathis, Bahrmanou
LE CHAT DE SCHRÖDINGER Miles Mathis La S.P.A. : ce chat est en train de dormir. Le chat de Schrödinger est une expérience par la pensée imaginée par Erwin Schrö- dinger pour répondre à l’Interprétation de Copenhague de la Mécanique Quan- tique. L’Interprétation de Copenhague, bâtie par Bohr, Heisenberg et d’autres, ex- plique les résultats d’expériences variées difficiles comme des probabilités surim- posées. En d’autres termes, puisque ces expériences ne pouvaient pas être expli- quées en utilisant une simple théorie physique ou de simples mathématiques, Bohr et les autres décidèrent d’exprimer les résultats par des mathématiques plus diffi- ciles et plus opaques, et par une théorie qui était intentionnellement et, on peut le dire, outrancièrement, irrationnelle. Étonnamment, seuls deux physiciens majeurs en furent irrités. Schrödinger en fut irrité, Einstein également. Einstein présenta son fameux article EPR en 1935, ar- LE CHAT DE SCHRÖDINGER gumentant contre Bohr ; et Schrödinger et son chat rejoignirent Einstein aussi- tôt après. Ces trois personnages étaient les seuls irréductibles contre Bohr, mais ils furent défaits. L’Interprétation de Copenhague est toujours l’interprétation ré- gnante. Oui, l’illogisme dirige toujours la maison de la physique des particules. Einstein, Schrödinger et le chat étaient morts lorsque la boîte fut ouverte, et ils sont toujours morts. Je parlerai rapidement des deux côtés en opposition dans ce conflit.