Opuscules de botanique
Dominique Clos
„ J , DESDU COUSSIiNET Eï XOEUDS VITAUX DANS LESDA>S LES PLANTES SPÉCIALEMENT CACTÉES, ; Par M. le D' D.J^OS Professeur à la FatuHé des Sciences et Directeur du Jardin des Plantes de Toulouse. £u à l'^rûbmif îles Scîencti ie Zouiouse , le 9 féorier 1860, 5*et extrait de ses Mémoires, série, t. iv, ô24 suiv.pp. et Il n'y a guère plus d'un demi-siècle que les questions de mor- phologie végétale commencé à êtreont envisagées à un point de vue philosophique , et voilà pourquoi il en reste encore tant à résoudre ou qui réclament un nouvel examen. De ce nombre est peut-être celle du coussinet et des nœuds vitaux. Ruellius paraît être le premier qui, en IbSC, ait mentionné en effet, dans l'œuvrele coussinet. On lit, de cet auteur : Pul- vinus est quod inter versus aut sulcos eminulum protumet , dictum quod quamdam refert pulvinorum in quibus sedemus similitudinem De natura stirpium 12( , p. ). Après lui cette partie de la plante , est restée longtemps en- tièrement ignorée; ni Jungius , ni Tournefort , ni Linné, ni Ludwig ni Adanson ni Willdenow ni , , , Duhamel n'ont su ou voulu la distinguer. Dans la première moitié de ce siècle, le .coussinetfut de nouveau signalé parMirbel(l;,parLink(£'/é?m. 2«philos, bot., édit., t. II 4-12) par MM. De Candolle , p. , père (Théor. élém. , i^-^ édit. 33d; 3«édit., , p. p. 314, Organ., t. I 335 , t. 11 , p. 179) . et ms(lntrod. à la bot., , p. t. I, 102 et plus près de nous, par Adr. de Jussieup. , Elém. de); ( 0*bot. , édit.